Edito du 26 Novembre 2018

Sommes-nous réellement en pleine phase de transition écologique ou bien uniquement dans l’exploitation marketing de l’argument écologique ? La question est clairement posée au sujet de l’Etat français qui ne cesse d’augmenter ses dépenses et doit, par conséquent, trouver de nouveaux motifs de taxation. L’interrogation est la même pour les associations écologistes, qui sont devenues de véritables puissances économiques, pour certaines, de dimension planétaire. La pression du discours et des actions des écologistes viennent déstabiliser l’équilibre de notre économie déjà fragilisée. La priorité ne serait-elle
pas le redressement économique de notre pays, afin de permettre à chacun d’avoir un niveau de vie décent, pour ensuite décider des moyens à affecter au changement des comportements ?